PerfectDisk Blog Français de Raxco.com | Logiciels de défragmentation

Bob, défragmenté ? Mais que cache cette histoire ?

Bob Nolan, le président-directeur général de Raxco Software, nous semble avoir besoin d’une sérieuse défragmentation. On sait que c’est lui qui a conçu PerfectDisk - qu’est-ce qu’il prépare exactement ?

Vous le saurez... le 15 juillet 2008.

Comment sélectionner un fournisseur : la méthode « defrag »

En tant qu’utilisateur averti des technologies modernes, que vous achetiez pour vos propres besoins domestiques, pour une petite ou moyenne entreprise, ou pour une grosse société, vous savez pertinemment bien que, pour déterminer celle des solutions qui est la meilleure pour vous et votre environnement, il vous faut chercher au-delà des assertions des vendeurs. C’est ce que je fais personnellement, que j’achète quelque chose pour Raxco ou pour mon propre usage – qu’il s’agisse de haute technologie ou pas. D’accord, je prends comme point de départ les affirmations du fournisseur, mais je fais tout mon possible pour vérifier de mon côté, ou par l’entremise de l’équipe Raxco, pour aboutir au « meilleur choix ». Vous devriez en faire autan

Jason Hiner, directeur de la rédaction de la rubrique Tech Sanity Check du forum TechRepublic (un magazine en ligne destiné aux professionnels des TI) a publié récemment une petite vidéo de trois minutes très intéressante avec pour titre :  Improving IT Vendor Selection, autrement dit « Comment améliorer le processus de sélection des fournisseurs ». Il définit 8 points :

1. Cahier des charges – faire une liste complète, par ordre de priorité
2. Dresser une (longue) liste des fournisseurs potentiels
3. Ramener la longue liste à une liste plus courte
4. Établir une demande de propositions et l’envoyer aux fournisseurs
5. Évaluer les solutions proposées par les fournisseurs – obtenir ses propres données et résultats
6. À l’aide des données obtenues de manière indépendante (ci-dessus), établir un classement des fournisseurs de la liste
7. Classer les fournisseurs par ordre de priorité
8. Prendre une décision finale et passer au stade du contrat.

Je pense que cette liste est un excellent outil. Et puisque nous nous occupons de défragmentation, d’optimisation et de performance, je voudrais particulièrement attirer votre attention sur les points 3 et 4 ci-dessus. Sans faire un sacré travail d’arrière-plan, si l’on ne fait pas les recherches nécessaires, il est possible de passer à côté de quelques points essentiels pour l’ensemble du processus.

Par exemple, nous rencontrons souvent des particuliers et des entreprises qui se concentrent sur la vitesse d’exécution d’une défragmentation. Je suis bien d’accord que la vitesse est importante, et nous travaillons sans relâche à améliorer la performance de PerfectDisk, mais je pense aussi qu’il faut rechercher les meilleurs résultats – pas seulement les bons. Si un programme défragmenteur signale qu’il a terminé sa tâche, assurez-vous qu’il laisse votre disque aussi défragmenté que possible, y compris l’espace libre sur ce disque. Si vous ne parvenez pas à vous faire une idée exacte de ce que le défragmenteur a accompli et si vous manquez de résultats statistiques, la signification de ce message « terminé » pourrait vous surprendre.

Un autre point important du processus d’évaluation est de mettre sur pied des scénarios d’essai qui imitent le plus possible des situations réelles. Par exemple, nous avons travaillé avec une importante banque européenne qui, au cours de tests assez superficiels, avait fait un choix préliminaire : un défragmenteur autre que PerfectDisk. Au fil de nos entretiens avec eux, nous nous sommes aperçus qu’ils avaient fait leurs essais dans l’environnement assez restreint d’un laboratoire, alors qu’ils s’apprêtaient à déployer le programme dans un environnement tout différent, sur des serveurs comportant des disques de plusieurs téraoctets avec espace libre limité. La banque fit des essais sur une plus grande échelle et arriva à une conclusion toute différente (PerfectDisk), une solution compatible avec ce nouveau scénario qui, lui, collait au réel.

Le plus important est de réfléchir très soigneusement à ce dont on a réellement besoin, à ce que l’on veut réellement obtenir, à ce qu’il serait agréable d’obtenir, et à l’environnement d’utilisation réel. Sans oublier, bien entendu, l’assistance technique et le service après-vente, ils font partie de l’équation. Si vous faites tout cela, vous vous sentirez satisfait de la conclusion à laquelle vous arriverez, quelle qu’elle soit. Ce qu’affirme le fournisseur ? N'en tenez compte que comme point de départ ; et cela vaut également pour les produits de Raxco Software…

Faites confiance, mais vérifiez quand même. Faites votre recherche personnelle.

Les dernières nouvelles sur la console de gestion centralisée de PerfectDisk 2008

Lorsque nous avons élaboré le plan de conception de PerfectDisk 2008, nous pensions livrer les éléments « clients » (Pro, Server, VMware, Exchange, Windows Home Server) avec le centre de commande, le Command Center, comme nous le faisons toujours. Les phases de tests tout comme les informations reçues ont été tellement positives que nous avons donné un bon coup de collier et avancé la date de sortie pour la ramener à fin janvier. Le Command Center est pour l’instant en Phase 1 de test bêta ; la Phase 2 commence la semaine prochaine.

Nous avons pas mal bossé sur ce Command Center, et ceux de nos clients qui utilisent notre produit en entreprise vont remarquer beaucoup d'améliorations utiles – et pas mal de choses qu’ils nous avaient demandées. Voici un aperçu des principales améliorations :

• l’ajout de RSCM (Remote Service Control Manager) en tant que méthode de déploiement ;
• de nouvelles options d’installation, y compris l’option de choisir entre MSI ou EXE pour le fichier exécutable, avec aussi de nouvelles options, par exemple le [paramètre /NORESTART (pas de réinitialisation) ;
• la synchronisation client est désormais plus rapide grâce à TCP/IP ;
• une nouvelle option pour la connexion aux clients par l’entremise d’un client « Lite » (allégé) en plus des clients traditionnels PerfectDisk et Remote Desktop. Ceci offre la possibilité de visualiser rapidement les journaux d’événements locaux (Event Logs) de vos machines clientes ainsi que leur historique PerfectDisk ;
• une utilisation facilitée par une interface graphique toute neuve, avec des rubans qui permettent de naviguer plus aisément ;
• de nouveaux (et meilleurs) assistants (wizards) qui vous guident pas à pas dans la configuration du déploiement, la gestion et les Alertes ;
• les plans ont été mis en catégories ;
• une nouvelle possibilité de valider les codes de licence et de vérifier rapidement les connexions aux machines clientes ;
• une mise en file d’attente des tâches (Task Queue) est simplifiée et vous pouvez désormais relancer aisément les tâches et purger les Alertes en quelques clics ;
• les options de visualisation se voient ajouter des options de colonnes nouvelles ;
• ajout d’un outil de diagnostic entièrement automatisé, avec rapport détaillé offrant des suggestions service par service. Cet outil de diagnostic est très complet : il recouvre tous les aspects, des politiques de sécurité locales et création de processus à distance aux dépendances des services ;
• de nouveaux rapports pour la configuration des clients et de l’espace libre ;
• le suivi de l’espace libre se fait maintenant de manière « historique », vous donnant une image grand angle de la consommation d’espace libre dans tout votre réseau.

Et bien entendu, le Command Center de PerfectDisk 2008 sera gratuit. Si vous êtes administrateur dans une entreprise, vous pouvez vous attendre à une console de gestion centralisée. Vous la recevez sans aucuns frais – même si vous bénéficiez de nos importants investissements en recherche et développement ! La console comporte des fonctionnalités uniques, telles les avertissements et alertes configurables et les rapports indiquant l’espace libre.

Bien sûr, nous aurions pu ne faire aucun changement et vous faire payer 250 dollars (~160 €) pour une nouvelle version. Mais une telle attitude (faire payer le client aussi souvent que possible), c’est peut-être la manière d’agir d’autres firmes – ce n’est absolument pas la nôtre!